Ils sont les hommes & les femmes du passif comme l'avait dit Mitterrand à Giscard aux présidentielles de 1980. Ils sont ceux qui, dès leur accession au pouvoir, ont inventé l'ultra-gauche - hé, les gaziers, on dit anar, libertaire, libre penseur, voire communards ou "partageux" ou encore gauche-droite-elections-piège-à-con-en-avant-les-moutons, bref, on peut dire bien des choses sur des gens de Tarnac ou d'ailleurs mais sûrement pas les réduire à votre qualificatif. C'est dit. On continue dans le registre faites pleuvoir la misère, ils sont ceux qui sont allés ripailler entre potes friqués & puissants au Fouquet's et dont on peut lire dans Marianne du 17 avril 2012 (mais pas que, je dis ça okazou) : D'après l'étude menée par deux chercheurs de l'école d'Économie de Paris, les entreprises dont les patrons étaient présents à la soirée du Fouquet's ont largement profité de cette proximité avec le nouveau président de la République. Notamment celles dont les PDG étaient de véritables amis du président...
...En revanche, la victoire de Nicolas Sarkozy n’a pas eu d’effet particulier sur le marché en général ou sur un secteur spécifique. Les copains d'abord. Bling ! Bling ! Faites sonner la rigolade, stalkez la mascarade ! Gobez la ragougnasse à Little Goulash... Alors mes cadets, mes bien chers frères, mes bien chères sœurs, dansons tous la gigue et le boggie-woogie aux funérailles des petits enfants du guide suprême, les J.F.C & F.F qui, à force d'avoir les ratiches qui rayent le parquet, ont fini par s'entretuer, c'est bête...
Maintenant, on est en droit de se demander à qui profitera ce fratricide ? Les socialistes - pas ceux de Jaurès ou de Rosa Luxemburg - sont peut-être un moindre mal mais tout cela branle dans le manche et il semble bien qu'un jour ou l'autre, les vrais vainqueurs soient encore et toujours ceux qui veulent l'ordre quel qu'en soit le prix... Ça fait un chouïa froid dans le dos mais petites cerises & gentils coquelicots seront aussi de la partie...
La K-Bine - Terrorisme d'État
Et puis un peu de tempérance & de nuance avec une chronique de Philippe Meyer
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