[...]Si Anna Calvi peut évoquer PJ Harvey (“j’aime le côté brutal et sexuel de sa musique”), c’est surtout aux concerts vertigineux de Jeff Buckley que l’on pense alors (“il avait un tel courage…”). Tout n’était pas gagné pour cette frêle anglaise, née timide. “A la base, je murmure : j’ai vocalisé des journées entières, cachée chez moi, rideaux tirés, sans rien dire à mes proches, sur des disques de Piaf ou Elvis… Mais je n’avais pas le choix : je DEVAIS chanter. Sans créativité, je sombrerais dans la folie.” [...]
(Source - Les Inrocks)
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