Vomir en serrant les dents pour garder les meilleurs morceaux, est ce de la gourmandise ou un art à part entière ?
Difficile question à laquelle pourtant l'album "La merde des autres" de Didier Super & Zeu discomobile semble apporter la réponse suivante: Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme, la reformulation "Lavoisiériste" de la maxime d'Anaxagore de Clazomènes: Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau... On appréciera donc à sa juste valeur cet opus injustement méconnu dont la pertinence n'a d'égal que le taux de décibels qui redonne vie à des casseroles du patrimoine musical hexagonal. Ami(e)s du sexe, de la poésie et de l'irrévérence jubilatoire, soyez les bienvenu(e)s !
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