Les porches cachent des impasses qui chuchotent...
Les porches cachent des impasses qui chuchotent
Et mon sexe-limace grimace en ton absence
Les boites aux lettres patinées de rouille baillent de la fente
C'est l'heure où les dragons pleurent au fond du canal
Quand ton ventre passerelle s'est barré à tire d'aile
Les cris des enfants sont placardés au hasard des façades
lointains échos fabuleuse spirale larvée dans ta gorge
Les eucalyptus du boulevard ont pissé sur les bancs
J'ai la forge sereine et la foi du puisatier
Aucune loi dans ce chaos d' incandescence
Ton éruption gutturale a éloigné les murs bariolés
Les yeux des voitures ont immobilisé les anges platine
Et les camions poubelles ramassent les rêves périmés
Nous connaissons de bien belles cimes affolées
Balayées par les vents contraires des raisons vacillantes
Ourlée,scrupuleusement labourée,ta gomme à délices
Ta verticalité frissonnante tient en sa béance mes vices
Les néons des avenues ont des mains caressantes
Pour nos cranes devenus spongieux,aux pensées obsédantes
Où es-tu quand le jour a dévalé les toits zingués
Quand mes nuits dingues ont la brillance d'une névralgie
En défaisant la route de la soie j'ai planté une aiguille
Dans une poupée de toi,vaine sorcellerie
Silence moite des rues ventriloques les soirs obliques
Ce sont les porches arcades majeures qui exhalent
Comme une sombre réplique la douce odeur de ton inconduite.
Les porches cachent des impasses qui chuchotent
Et mon sexe-limace grimace en ton absence
Les boites aux lettres patinées de rouille baillent de la fente
C'est l'heure où les dragons pleurent au fond du canal
Quand ton ventre passerelle s'est barré à tire d'aile
Les cris des enfants sont placardés au hasard des façades
lointains échos fabuleuse spirale larvée dans ta gorge
Les eucalyptus du boulevard ont pissé sur les bancs
J'ai la forge sereine et la foi du puisatier
Aucune loi dans ce chaos d' incandescence
Ton éruption gutturale a éloigné les murs bariolés
Les yeux des voitures ont immobilisé les anges platine
Et les camions poubelles ramassent les rêves périmés
Nous connaissons de bien belles cimes affolées
Balayées par les vents contraires des raisons vacillantes
Ourlée,scrupuleusement labourée,ta gomme à délices
Ta verticalité frissonnante tient en sa béance mes vices
Les néons des avenues ont des mains caressantes
Pour nos cranes devenus spongieux,aux pensées obsédantes
Où es-tu quand le jour a dévalé les toits zingués
Quand mes nuits dingues ont la brillance d'une névralgie
En défaisant la route de la soie j'ai planté une aiguille
Dans une poupée de toi,vaine sorcellerie
Silence moite des rues ventriloques les soirs obliques
Ce sont les porches arcades majeures qui exhalent
Comme une sombre réplique la douce odeur de ton inconduite.
...Au Coin De Ta Robe.
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